Création 2012DOSSIER DU SPECTACLE Tout public, à partir de 14 ans Durée : 1h20 VF/LSF
Textes : Guy DE MAUPASSANT Mise en scène : Eric VANELLE Avec : Lætitia BOS, Corinne MARIOTTO, Eric VANELLE, Lucie LATASTE, Delphine SAINT-RAYMOND et Martin CROS Adaptation LSF : Martin CROS, Lucie LATASTE, Delphine SAINT-RAYMOND et Eric VANELLE Lumières : Margot FALLETTY Diffusion : Audrey CHARRIÈRE (Association l’Écluse)
Adaptation irrévérencieuse et fidèle de quatre nouvelles de Maupassant, Les Amours inutiles offre un kaléidoscope de figures féminines et masculines se débattant avec ce sentiment communément appelé « amour ».
C’est le fil rouge de cet opus : l’amour comme révélateur des subtils mécanismes qui régissent les relations entre les êtres, qui les rapprochent, les lient, les détruisent ou les font grandir.
L’ironie – chère à l’auteur – sera l’épine dorsale du spectacle. La langue des signes et la langue française se répondent : l’interaction entre les six comédiens éclaire d’un jour nouveau ces textes acides et virtuoses. Ici pas de traduction d’une langue à l’autre mais un spectacle à « tiroirs » – total – pour profiter des deux langues dans un même mouvement jubilatoire !
Soutiens et partenaires DRAC Occitanie, Région Occitanie, Département de la Haute-Garonne, Ville de Toulouse, Fondation de France, Théâtre du Grand Rond (Toulouse), Centre culturel Alban Minville (Toulouse), Le Grain à Moudre (Samatan), La Gare aux artistes (Montrabé)
Photos
Teaser
Presse
Prix « Coup de Coeur Handiculture » 2014
« Six comédiens gravitent sur scène. Chaque personnage a son double, parlant ou signant. Les langues se croisent, s’assemblent, se mélangent. Les duos se forment et se défont dans un même espace. Qu’importe le mode d’expression, tout le monde se risque au jeu de l’amour! Le subterfuge est habilement mené grâce à des comédiens talentueux et des choix de mises en scène atypiques. Quatre nouvelles, autant d’occasion de diversifier les formes de dialogue et de mises en espace. Décors amovibles, gestes synchronisés, danses sensuelles, couples qui s’interchangent, les surprises s’enchaînent et ne se ressemblent pas. Une mise en scène étonnante, qui bien loin de créer la confusion, réunit les spectateurs sourds et entendants au sein d’une compréhension commune. » Pauline Stroesser – Art PI